mercredi 23 avril 2008

Gottfried Wilhelm von Leibniz et ses quatre principes

I. Le principe de raison suffisante

Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien? est la première question qu'on a le droit de faire, dit Leibniz. Car le rien est plus simple et facile que quelque chose. Et, si des choses doivent exister, il faut qu'on puisse rendre raison pourquoi elle doivent exister ainsi, et non autrement.
Leibniz va chercher la raison chez Dieu, sachant que son Dieu est mathématicien, celui-ci calcule infiniment tous les mondes possibles et sage parce qu'il choisit de créer le meilleur des mondes possibles.

Inversant Dieu par la physique moderne, pour laisser la religion à l'écart, et nous verrons que sa réflexion n'est certainement pas fausse. Leibniz cherche la raison nécessaire à ce qu'il existe quelque chose plutôt que rien. Il ne donne évidemment pas d'explication exacte, comme le big bang, mais il se pose la question qui va au-delà de la création d'une terre en sept jours.


II. Le principe de contradiction

Selon ce principe, des possibles contradictoires ne peuvent être simultanément présents dans un monde. Les possibles sont des compossiples, des possibles logiquement non contradictoires. Les compossibles peuvent être réalisés conjointement parce qu'ils sont compatibles entre eux.

Leibniz a raison en ce qui concerne le monde en tant que tel, ce qui veut dire la composition des éléments qui forment un tout. La pierre, le ferre, l'eau, etc. sont évidemment des éléments différents, mais ils ne sont pas contradictoirs.
Mais cela ne veut pas dire que la contradiction n'existe pas, des idées et des résultats intelléctuels créés par l'homme peuvent tout à fait être contradictoire.


III. Le principe de continuité

Dans l'univers, tous les degrés possibles doivent être présents en vertu du principe de continuité. Ces degrés consacrent une hiérarchie liée au principe de raison suffisante (l'existence de deux substances de même degré serait sans raison) et au principe de l'identité des indiscernables. Selon ce dernier, des substances distinctes ne peuvent être identiques, c'est-à-dire indiscernables.

J'accepte qu'aucun objet peut être identique à un autre, aussi de même nature. Des substances indiscernables, qui semble identique, ne le sont certainement pas (exemple le plus simple: des jumeaux, mais cela correspond aussi pour les substances).
L'hiérarchie me semble plutôt relative, je comprends qu'aucune substance a la même valeur, mais cette valeur peut varier selon un autre point de vue.


IV. Le principe du meilleur ou de perfection

Le meilleur des mondes possibles est le monde réel. Ce monde est non d'un point de vue logique - d'autres mondes sont également possibles - mais d'un point de vue moral : en tant que meilleur des mondes possibles, il devait moralement être choisi par Dieu qui est bon. Le possible à forte teneur en perfection pousse en quelque sorte Dieu à le créer.
Dieu a choisi de créer le monde qui est le plus parfait, c'est-à-dire qui est en même temps le plus simple dans ses hypothèses et le plus riche en phénomènes.

Pour commencer du point de vue moral : de nos jour l'homme est en train de détruir la planète (non-seulement par le CO2), or Dieu (Nature) est obligé de tuer l'homme pour assurer la survie de la terre (, si Dieu est bon).
Leibniz n'avait pas la croyance à l'aléatoire et il ignorait existence des millier de planètes, systèmes solaire et galaxies.
Finalement nous existons par hasard, parce qu'il y avait les conditions idéales qui assuraient notre existence, comme probablement aussi sur d'autres planètes, autres formes de vie eux une chance, dont nous ignorons l'existence.

lundi 21 avril 2008

Dei 7. Simpsons : The Call of the Simpsons

I will not draw naked ladies in the class, ass dem bart sein saatz deskeier an um canape geschitt mol engkeier neicht nodeem se sech dropgesaat hun.

Des ass d'folge wou den homer sech eng roulotte keeft, aus neit geint den flanders. Natierlech kritt hien net eng luxus szen, mee eng schrotteg occasion, well en net kreditwuerdeg ass. Den homer well senger famill awer freet machen, doweins gin se zesummen an den besch, wou se sech selbsverstaendlech verfueren an d'roulotte den fiels eroof fellt. Nach gut dovun komm kucken se vir d'siwerliewen. D'marge an d'lisa bleiwen op enger platz fir d'laarer opzeschloen, waat se competent hinkreien. Den homer an den bart sollen eppes sichengoen fir d'siessen, ennerwee nach d'maggie verluer, faalen se den waasserfall eroof, bevier den humer nackeg am bulli leit an als bigfoot bezeegent get. D'maggie get an enger hoel vun grizzlyen versuegt.



Waat des folge sou gut mescht, ass d'kritig un eis geselschaft, waat den kredit, manipulation vun den medien an dei domm manipuleiert leit ugeet.
Aal mee gans gut 23 min!